Connaissez vous le Zen Shiatsu ?
Le shiatsu est un art énergétique du toucher d’origine japonaise. »shi » signifie « doigts » et « atsu » signifie « pression ».
Parmi diverses manières de pratiquer le shiatsu, on trouve le Zen Shiatsu. Le Zen shiatsu puise ses enseignements dans les classiques de la Médecine Traditionnelle Chinoise et se distingue par le fait qu’il est indissociable de la pratique du do in (exercices de santé par l’étirement des méridiens et auto massage sur les points d’acupuncture) et du Zen (méditation en position assise).
C’est le calme intérieur du praticien, sa posture juste et ses pressions stables (adaptées au besoins du jusha/receveur) qui vont permettre de se relaxer profondément.
Ce repos, c’est un espace qui s’ouvre. Le relâchement des tensions physiques et émotionnelles « libère les passages » et rétablit une circulation harmonieuse des souffles vitaux, le Qi.
Le shiatsu distingue le corps, le coeur et l’esprit mais ne les sépare pas. Le jusha est pris dans sa globalité corporelle, énergétique et est considéré dans sa relation à son environnement et aux cycles des saisons. Le praticien oeuvre « Ishin denshin » c’est à dire « coeur à coeur » avec le jusha.
Au Japon le shiatsu a été développé notamment par Masunaga Sensei pour le Zen Shiatsu mais aussi Ohashi Sensei, Namikoshi Sensei. Il est enseigné dans des écoles agréées par le gouvernement telles que la Nippon Shiatsu School ou la Namikoshi school. En mai 1997, la Commission Européenne l’a identifiée comme l’une des huit méthodes de médecine complémentaires.
L’idée chère aux orientaux étant de soigner ce qui n’est pas encore malade, on peut recevoir un shiatsu à chaque changement de saison pour entretenir son potentiel vital et cela à tous les âges de la vie. Si les désordres sont installés, anciens, l’action du shiatsu pourra être renforcée par d’autres branches de la Médecine Traditionnelle Chinoise que sont la pharmacopée (végétaux, minéraux…), l’acupuncture, la diététique et le gi gong. L’équilibre énergétique qui nous maintient en bonne santé sera alors rétabli.
Les Japonais étant très pudiques, le shiatsu se pratique habillé de vêtements confortables et traditionnellement au sol sur un futon. Le jusha peut-être assis et/ou allongé. Le praticien ne se sert pas seulement de ses pouces pour exercer des pressions, il peut utiliser ses avants-bras, ses coudes, ses pieds, ses genoux. Les frictions, les percussions, les vibrations et les mobilisations articulaires font également partie des techniques utilisées en shiatsu. Dès la première séance, le corps se délasse, s’étire, respire, l’esprit est apaisé.
Pour votre bien-être, pour vous relaxer et vous débarrasser d’une journée de stress, pour soulager tensions et anxiété, tout simplement pour retrouver un équilibre, pensez à essayer le Shiatsu !
Vous avez envie d’essayer ?
Pour trouver un praticien de shiatsu ou un cours de do in près de chez vous :
FFST (Fédération Français de Shiatsu Traditionnel)
Merci à Sarah Fitoussi pour la rédaction de cet article.
C’est au Japon qu’on vit le plus longtemps, en particulier à Okinawa, un archipel situé au sud des quatre îles japonaises principales. Okinawa est célèbre pour ses plages magnifiques mais aussi pour abriter le plus de centenaires au monde. Plus étonnant encore, ces personnes maintiennent souvent une très bonne forme, certaines d’entre elles travaillant encore dans les champs.
Les scientifiques se sont bien entendu penchés sur le cas de ces habitants aux espérances de vie hors-du-commun.
Les constations d’une santé exceptionnelle, même à un âge avancé
À Okinawa, le temps semble avoir moins de prise sur les habitants.
. Mentalement, les okinawaïens font le plus souvent preuve d’un esprit encore très alerte au-delà de 100 ans. Le taux de démences séniles est inférieur à celui de populations équivalentes en occident.
. Les docteurs sont frappés de constater que les okinawaïens âgés ont des artères en très bon état. Leurs taux de cholestérol et d’homocystéine sont très bas, comparé aux populations occidentales. Les risques de maladies cardio-vasculaires, de crise cardiaques/infarctus sont ainsi significativement réduits.
. L’ostéoporose les touche beaucoup moins qu’en occident. On estime qu’il y a deux fois moins de fractures des hanches à Okinawa qu’aux Etats-Unis. Les okinawaïens conservent une meilleure densité osseuse, plus longtemps.
. Les femmes d’Okinawa vivent des ménopauses avec très peu de complications et effets désagréables.
. On a aussi constaté que les okinawaïens sont beaucoup moins sujets aux cancers que les populations occidentales. Des études très sérieuses ont montré qu’ils ont 80% moins de cancer du sein et de la prostate, moitié moins de cancer des ovaires ou du colon que la population américaine.
. La « juvénilité » des personnes âgées de l’archipel est aussi remarquable au niveau hormonal : à âges égaux, ces personnes ont des niveaux de DHEA (la fameuse « hormone de l’anti-vieillissement »), d’œstrogène et de testostérone plus élevés que les occidentaux – preuve que les okinawaïens sont physiologiquement plus jeunes … D’ailleurs, les scientifiques ont aussi constaté des taux de radicaux libres peu élevés chez ces populations – les radicaux libres étant des éléments responsables du vieillissement de nos cellules.
Quels sont donc les secrets des okinawaïens ?
Les facteurs génétiques
D’une manière générale, les études scientifiques concluent qu’environ un tiers de la longévité est due au patrimoine génétique. Il a été prouvé que les habitants d’Okinawa avaient des prédispositions génétiques favorisant une meilleure santé. Par exemple ils disposent de (attention inspirez bien fort:) « polymorphismes génétiques d’antigènes des leucocytes humains » (HLA). En des termes plus simples, ces gènes sont présents sous plusieurs formes (allèles) ce qui leur procure une plus faible susceptibilité aux maladies auto-immunes et inflammatoires. Mais de nombreuses recherches sont encore effectuées pour déterminer les facteurs génétiques dans la longévité. Plus importants encore sont les facteurs nutritionnels, comportementaux et environnementaux puisque notre mode de vie a donc une influence de 70% sur notre espérance de vie.
Une alimentation saine
L’alimentation des habitants d’Okinawa est constituée de légumes, de légumes, de fruits, de légumes, de poissons (3 fois par semaine), de graines et … de légumes . Graines, tofu et autres plats à base de soja (qui contient des flavonoïdes – voir notre article sur le tofu du 13 février), poissons et konbu (algues – voir notre article sur le Shabu-shabu et sur le Oden des 20 et 27 février). A contrario, ils consomment très peu de viande, de sucre, de produits laitiers et d’oeufs. Tout cela, on le savait déjà … Il ne nous reste qu’à l’appliquer.
Parmi les aliments locaux, découvrons quelques aliments peu connus :
. les patates douces violettes : riches en flavonoïdes, carotenoïdes et vitamine E
. les concombres amers (goya) qui réduisent le taux de sucre dans le sang des diabétiques (et ont autant de vitamines C que les citrons !)
. Les poulpes et encornets sont riches en taurine, bénéfique pour réduire le taux de cholestérol et la tension
. Les graines de lin, sources de phytoœstrogènes comme le soja, et donc particulièrement bénéfiques aux femmes
. Pour les boissons, le thé au curcuma (turmeric), ou le thé au jasmin sont très consommés à Okinawa. Le curcuma en particulier, aurait des effets préventifs contre certains cancers, spécialement associé avec du thé vert (lui-même source d’antioxydants – voir notre article du 8 janvier)
En basant leur nutrition sur ces aliments riches en calcium, oméga-3 et anti-oxydants, en fibres, en flavonoïdes, mais pauvres en graisses; en ne fumant pas et en ne consommant que peu d’alcool, les habitants d’Okinawa réduisent les dommages sur leurs artères notamment, et ralentissent le processus de vieillissement de leurs cellules. Leur régime nutritionnel moins calorique, conjugué à leur mode de vie sain, réduit simultanément le nombre de radicaux libres.
« Hara Hachi Bu » : retenez cette expression !
Presqu’autant que les ingrédients, les habitudes d’alimentation sont primordiales. Les okinawaïens appliquent quotidiennement le précepte « Hara hachi bu » : arrêter de manger avant d’avoir le ventre plein à 80%. Pour cela, il faut bien prendre en compte que la sensation de satiété parvient au cerveau avec un certain décalage ! En appliquant cette règle, les okinawaïens consomment bien évidemment moins de calories (environ 30% de moins qu’en occident). Et cette restriction renforce leur système immunitaire.
L’activité physique
La société okinawaïenne est très proche de la nature. C’est une société rurale. On travaille dans les champs, à la ferme. Pas ou peu de travail sédentaire – un mal de nos sociétés occidentales. Le soleil leur apporte en même temps les vitamines D qui renforcent leurs os.
Le comportement
Certains disent que le principal secret de la longévité okinawaïenne provient de leur calme, de leur sérénité et de leur optimisme. À Okinawa, il y a peu de stress. Conjuguez cela avec des relations sociales et familiales le plus souvent très développées et saines, et vous avez la recette d’une vie psychique équilibrée.
Il est incontestable et avéré que le mode de vie des habitants d’Okinawa est propice à une vie longue et saine. Alors essayons d’appliquer au mieux certains préceptes des okinawaïens que l’on connait d’ailleurs bien : l’exercice physique quotidien, un mode de vie sain et équilibré … Et bien entendu une nutrition saine. Mais profitons aussi de notre chère cuisine. D’ailleurs, certains scientifiques pensent qu’un régime que l’on connait si bien serait tout aussi bénéfique que l’alimentation d’Okinawa : la cuisine méditerranéenne, tout simplement ! Quoiqu’il en soit, les okinawaïens doivent être une source d’inspiration pour tous ceux d’entre nous qui souhaitent prendre soin de leur santé.
Les éponges de konjac d’AvenueDuJapon.com sont 100% naturelles. Fabriquées avec les fibres de konjac, elles sont douces comme de la soie et des exfoliants très efficaces. Précédemment nous avions parlé du konjac, cette racine asiatique que l’on consomme d’ailleurs de plus en plus fréquemment en occident aussi. Voici comment les éponges en konnyaku (comme les japonais le prononcent) sont fabriquées dans la ferme/usine de notre producteur que nous sommes allés rencontrer (cliquer sur la grande photo pour l’agrandir).
1. Le konjac en poudre est mélangé à de l’eau et à de l’hydroxyde de calcium (un additif alimentaire couramment utilisé, notamment comme affermissant).
2. La mixture est versée dans de petit moule. Elle se fige rapidement.
3. Les moules sont rassemblés et empilés.
4. L’ensemble est placé dans une cuve d’eau bouillante pendant quelques heures.
5. Les éponges sont déversées dans une autre cuve. On dirait presque des petits pains. D’ailleurs, jusqu’alors, elles étaient comestibles ! À présent, elles sont trop dures pour être ingérées.
6. Les éponges sont mises dans un grand congélateur. Elles sont congelées, décongelées successivement, plusieurs fois. Le producteur précise qu’il ne peut pas révéler tout son secret de fabrication à cette étape.
7. On laisse les éponges sécher très lentement.
8. L’emballage et la vérification sont effectués manuellement, une à une.
9. Vous faites profiter votre peau de la douceur incroyable des éponges de konjac !
On emploie souvent l’expression « Être Zen » ou « Rester Zen » mais qu’est-ce que le Zen ?
Le Zen est tout simplement une forme de bouddhisme qui met l’accent sur la méditation, dans une position assise, tel que la pratiquait le fondateur du bouddhisme, Siddhartha Gautama. Bouddha. Cette posture s’appelle le Zazen.
Le Zazen est donc un entrainement spirituel qui conduit à la méditation.
Comment pratiquer le Zazen ?
Une bonne posture est indispensable à une bonne respiration :
1. Asseyez-vous dans la position du Lotus (ou en tailleur) : pied droit sur ou contre la cuisse gauche et vice versa. Installez éventuellement un coussin pour plus de confort. Si cette position est inconfortable, vous pouvez vous mettre à genoux, calé(e) avec un coussin.
2. Disposez vos mains d’une de ces manières :
3. Restez bien droit(e) : colonne vertébrale droite, sans crisper les épaules
La respiration est évidemment primordiale pour la méditation. Elle se fera par le nez. Voici comment :
1. Fermez les yeux à moitié, votre regard posé sur un point à un ou deux mètres devant vous
2. Inspirez profondément et portez votre attention sur le flux d’air qui monte de la base de votre colonne vertébrale jusqu’à un point situé entre vos yeux, appelé Miken
3. Conservez cette posture et imaginez que du Miken, tel un soleil, irradie une source de chaleur et de lumière
4. Expirez doucement en sentant le flux d’air traverser votre visage, puis votre gorge et votre poitrine jusque l’abdomen, juste au-dessus de votre nombril.
Recommencez.
Ce qu’il faut retenir :
La méditation a pour but de vider votre esprit de toutes pensées. L’essentiel pour cela est de vous concentrer sur votre posture et votre respiration (le « miken » vous aide à cela mais vous pouvez y parvenir sans). Cet état favorise l’afflux de sang dans votre cerveau et cela vous procure une grande et réelle sérénité. Ce qu’on appelle communément être « Zen ».
Le thé vert est-il si bénéfique pour la santé ?
Vers le 8e siècle, le thé fut importé au Japon de Chine par des moines bouddhistes. Longtemps, il fut réservé aux nobles et autres privilégiés. Avant que sa consommation ne se démocratise, particulièrement durant l’ère d’Edo, on le considérait comme un médicament : on le disait améliorer la digestion et être bon pour le coeur, entre autres bienfaits. Aujourd’hui, les scientifiques se penchent sur ce qu’est susceptible d’apporter ce breuvage asiatique.
*** Cet article n’est pas une étude scientifique mais a pour but de vous faire part des connaissances actuelles sur ce sujet ***
Qu’est-ce que le thé vert ?
Le thé vert est issu d’une plante qui s’appelle Camellia Sinensis. Selon la manière dont les feuilles sont traitées, on obtient du thé noir, du thé oolong ou du thé vert. Pour produire ce dernier, les feuilles ne sont pas fermentées (pas oxydées), tandis que le thé noir est complètement fermenté.
Que contient le thé vert ?
Le thé vert contient de nombreux éléments nutritionnels. Acides aminés, enzymes, lipides, hydrates de carbone, carotenoides, tocophéroles, ainsi que des vitamines, de la caféine et divers composés minéraux notamment … La liste est longue !… Parce qu’il n’est pas fermenté, il contient surtout une grande concentration de polyphénols, des anti-oxydants très efficaces. Aucun autre thé ne contient autant d’anti-oxydants que le thé vert. Notons au passage que ce sont justement les polyphénols qui donnent au thé vert son amertume.
Les anti-oxydants neutralisent les radicaux libres, ces éléments qui contribuent à accélérer le processus de vieillesse voire à provoquer certaines maladies en modifiant l’ADN et donc les cellules. Ce sont ainsi les polyphénols qui agiraient pour donner au thé vert sa réputation de boisson bonne pour la santé. Nous avons cherché à savoir si cette réputation est justifiée.
Notre conclusion :
… Difficile de s’y retrouver !
De nombreuses études ont affirmé les effets bénéfiques de cette boisson, peut-être renforcées par le fait que l’espérance de vie des japonais est une des plus élevées au monde. D’autres études tempèrent ces affirmations et il est par conséquent difficile de faire la part des choses entre mythe et réalité. Ce qui est toutefois remarquable est l’étendue des bienfaits qu’aurait le thé vert. Jugez-en plutôt.
Le cancer : une pléthore d’études scientifiques ont été et continuent d’être réalisées. Les polyphénols contenus dans le thé vert joueraient bien un rôle préventif contre le cancer et même dans certains cas, ralentiraient le développement de certains cancers. Toutefois, une étude tendant à montrer ces effets bénéfiques est souvent contredite simultanément par une autre étude ! D’autre part, beaucoup d’études ne sont pas réalisées sur des personnes mais seulement dans les laboratoires. Enfin, des résultats sont différents selon que certains seuils (par exemple « plus que 5 tasses par jour ») soit atteints ou non. Il est par conséquent très difficile de faire la part des choses. Notons que les effets bénéfiques sembleraient les plus avérés sur les cancers de la peau (grâce à ses propriétés anti-inflammatoires sur lesquelles nous allons revenir), du sein et de la prostate tandis qu’ils sont plus discutables pour les cancers de l’estomac ou des poumons, par exemple.
Les maladies cardio-vasculaires, le cholestérol : le comportement de milliers de japonais a été suivi pendant plus de 10 ans et les conclusions qui en découlent semblent montrer une corrélation entre les risques de maladies cardio-vasculaires et la consommation de thé vert. Plus on en boirait, plus le risque de développer des pathologies cardio-vasculaires serait minime. Aussi, il serait avéré que le thé vert diminuerait le taux de cholestérol et simultanément augmenterait le « bon » cholestérol. En revanche, il semblerait que les quantités à consommer soient importantes (5 tasses et plus) pour qu’il y ait un effet significatif.
Le diabète : le thé vert est réputé pour réguler le niveau de sucre dans le sang et certaines études montreraient son effet favorable contre le développement du diabète de type 1. Même chose pour le diabète de type 2. Hélas d’autre études affirment qu’il n’a pas d’effet.
Le surpoids : le thé vert pourrait favoriser le métabolisme et donc pour les personnes en surpoids la perte de poids, quoique de manière non significative.
Les maladies du foie : la catéchine (un polyphénol) aide à lutter contre certaines maladies du foie, et notamment l’hépatite virale. Mais il faudrait en consommer de fortes doses, ce qui bien sûr aurait des effets sur la santé (trop grande quantité de caféine ingérée, notamment).
Maladies inflammatoires (arthrite, maladie de Crohn …) : le thé vert a des propriétés anti-inflammatoires avérées, et aurait donc un effet sur ces maladies.
Autres : lutter contre les caries, prévenir les rhumes et la grippe … Les effets bénéfiques seraient très nombreux. Mais attention aux autres effets !
Des contre-indications aussi !
Comme un médicament, le thé vert peut avoir des effets indésirables et des contre-indications. Il est donc recommandé de parler à son médecin avant d’en consommer de fortes quantités, a fortiori si l’on souffre d’une condition médicale particulière ou si on est enceinte. Ainsi la caféine contenue dans le thé vert (notons au passage qu’elle en contient environ deux fois moins que le thé noir) rend ce dernier indésirable lorsqu’on prend des méta-bloquants. La vitamine K qu’il contient rend moins efficaces les anti-coagulants. Il réduit aussi le taux de lithium dans le sang, et complique donc le traitement de la bipolarité. Citons aussi l’effet simultané de la pilule contraceptive avec la caféine, la première allongeant l’effet de la seconde et rendant donc le mélange plus stimulant que si la boisson était consommée toute seule. Irritabilité, insomnie, maux d’estomac, nausées, … Il faut savoir que des effets indésirables potentiels du thé vert existent.
Alors que penser de l’utilité de boire du thé vert ?
Comme nous l’avons dit, il convient de prendre les résultats des études scientifiques avec précaution. En l’état actuel de la science, les effets bénéfiques du thé vert, notamment contre le cancer, ne sont pas complètement avérés. Ce que l’on sait est qu’il contient beaucoup de polyphénols et que ces derniers aident à prévenir ou lutter contre de nombreuses maladies. C’est un domaine sur lequel beaucoup de scientifiques se penchent actuellement car c’est une clé de notre bien-être. Aussi, le fait que l’on mentionne le thé vert comme bon pour lutter contre tant de trouble crée un faisceau de présomption de ses bienfaits. Bien que l’on ne soit sûr de rien encore, on peut affirmer sans se tromper que – sauf contre-indications – c’est une boisson qui est en tous cas très bonne pour la santé. Alors ne vous privez surtout pas de vos deux ou trois tasses quotidiennes !
[ Nous rappelons que cet article n'est pas une étude scientifique. Si vous avez la moindre question médicale, veuillez consulter votre médecin ! ]